Changement

Réveille ta passion et le goût pour la vie !

Qui est démuni de passion, rien ne lui sert d’avoir de la science.

Quand as-tu ressenti, pour la dernière fois, de la passion pour ce que tu fais ? Pour certains, cette réponse est simple. Pour d’autres elle peut être assimilée à un défi de taille.

Entre boulot, manger et dodo, il reste souvent très peu de temps pour la passion et les rêves.

La vie semble vide, fade et sans grand intérêts

Cela peut mener à la réflexion qu’il reste qu’un plan possible : attendre la retraite ou pire… la fin de vie !

La question que je me pose : sans passion, la vie est-ce vraiment la vie ou déjà la mort ?

“Celui qui se perd dans sa passion a moins perdu que celui qui perd sa passion.” Alexandre Jardin

Oui, me direz-vous, c’est facile de penser ainsi avec une vie et une profession intéressante. Alors que moi je me débats jour après jour dans la mouise. Entouré, que je suis, par une multitude de personnes négatives, des problèmes insolubles et, également, une ambiance triste et sans espoir.

AHA !

Vu sous cet angle, l’espoir de réveiller votre passion semble bien mince, c’est une certitude.

Finalement, peut-être que tel est votre destin… et qu’il vous faut bien vous résoudre à l’accepter.

HUM !

Est-ce vraiment ça la vie ?

En ce qui me concerne, j’ai décidé de voir les choses autrement. J’ai acquis la conviction que rien, ni personne, ne peut décider de mon chemin de vie. De ma passion. De mon bonheur.

“La passion n’a pas de temps à perdre, elle ignore la patience et les dires de courtoisie.” Louise de Vilmorin

Je reste le seul maître à bord, suis en mesure de passer d’un état à un autre — quoi que les autres puissent faire ou penser — je reste libre de mes choix.

Et vous, quel est votre choix ?

Voulez-vous être à l’image : chaque matin je saute du lit et atterris sur une mine. La mine, c’est moi. Ensuite, il me faut toute la journée pour rassembler les pièces… que me reste-t-il comme temps pour autre chose ?”

Ou au contraire : chaque matin je change l’emplacement du saut du lit. Lorsque j’ai trouvé l’endroit qui m’évite la mine, je pars du bon pied et poursuis toute la journée avec passion. Cela ouvre bien plus d’alternatives.”

Oui, vous l’aurez compris : c’est vous qui décidez de votre bien-être. Le bonheur peut venir que de l’intérieur, c’est la raison qui devrait vous pousser à vous y rendre plus régulièrement, voir, à terme, en permanence.

Démarrez immédiatement : passez à l’action !

La passion fera sans aucun doute partie de votre vie !

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Trouvons le dialogue

Si cet article vous a plu, et que vous l’avez trouvé utile, vous pourriez répondre à la question suivante : Comment comptez-vous utiliser la passion pour améliorer votre vie ?

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Partager, c’est gagner…

Le temps me manque et pourtant j’augmente mes charges…

Il est 9 heures du matin et Paul se réveille péniblement, qu’à bien pu se passer, il est en retard pour le travail ? 

Il se sent fatigué et sans motivation ni élan. Il aimerait tellement rester dans son lit douillet et bien chaud. Continuer son rêve magnifique d’une plage de sable ensoleillé, loin de son travail et de ses collègues qui l’exaspèrent…

Il ne voit aucune lueur à l’horizon

Depuis plus de dix ans qu’il travaille dans une société d’assurance, en tant que responsable du service des sinistres, il lui semble que le travail n’a cessé d’augmenter.

De se dire qu’il lui reste encore de très nombreuses années à tirer jusqu’à sa retraite, lui enlève le dernier courage qui lui restait encore.

Il le sait, rien ne va changer

Lui qui aime tant le travail bien fait. Ce que la majorité des collaborateurs de son service ne semblent pas avoir compris à ce jour.

Alors que faire, si ce n’est de le faire lui-même.

La direction apprécie son travail

Ce qui ajoute encore du travail de la part des sa direction, vu qu’il connaissent son sérieux et la qualité exceptionnelle de son dur labeur.

Oui, la situation devient intenable et semble être sans issue pour lui.

Une histoire qui se répète jour après jour

Peut-être pour un de vos proches, un collègue de travail ou pour vous-même.

Si c’est le cas, sachez que vous faites partie d’un groupe bien représenté dans notre société actuelle. Qui tente tout, pour se sortir de cette spirale infernale.

Le problème, peu y arrivent vraiment.

Un court instant dans la vie de Pierre Desproges…

Je ne suis pas à proprement parler ce que l’on appelle un maniaque

Simplement, j’aime que tout brille et que tout soit bien rangé. Quand je rentre à la maison, la première chose que je fais, c’est de me servir du thé. Je me verse moi-même le thé, bien au milieu du bol. Le sucre doit être vertical. Sinon, c’est le bordel. Ensuite, je range le bureau, le chien, les gosses et j’astique le zèbre. […] J’aime beaucoup les zèbres, les rayures sont bien parallèles. J’aime que les choses soient bien parallèles. Je n’apprécie rien tant que cet instant, trop éphémère, hélas, où ma montre à quartz indique 11 h 11. Parfois j’ai un orgasme jusqu’à 11 h 12.

Extrait de Pierre Desproges se donne en spectacle (Papiers).

De quel groupe faites-vous partie ?

En réduisant le nombre de groupes à trois, nous pouvons considérer qu’ils sont les suivants :

1. Le perfectionniste

Pour qui ce n’est jamais assez bien. Il va dans les derniers détails en permanence — même lorsque c’est inutile — ce qui lui demande un temps considérable. Cela se traduit très régulièrement par un manque de temps et parfois une remise du travail tardive.

Ce groupe a également souvent beaucoup de peine à déléguer du travail, car comme à l’image de Paul, ils pensent que les tâches seront exécutées de manière imparfaite.

Je vis avec un perfectionniste, un témoignage poignant : Le credo de Paul : placer la barre toujours plus haut, et ce dans les moindres détails. Dans notre vie commune aussi, il cherche la petite bête. Et cela m’agace ! Alors, je prends le contre-pied, pour rétablir l’équilibre. Je laisse volontairement traîner mes affaires, je rate un plat de temps en temps, je déplace exprès un cadre de deux millimètres… Je le provoque, je le titille, je me moque de lui : « Tiens, tu as un lacet plus long que l’autre ». En tout cas, je n’accepte plus ses reproches, ni ses tentatives pour me culpabiliser.

2. Le dirigé par autrui

Vous en connaissez certainement au minimum un dans votre entourage proche. C’est celui qui dit toujours oui à tout et à tout le monde. De dire non, c’est plus qu’un défi… finalement il ne veut blesser personne.

En y regardant de plus près, nous pouvons constater que le fait de dire oui à tout, il devient très compliqué de rester à un niveau acceptable de volume de travail.

C’est dans ce groupe que nous rencontrons le plus de personnes qui subissent un burnout.

Méditez sur ces préceptes : « L’apprentissage de la désobéissance est un long cheminement. Il faut toute une vie pour aboutir. » Maurice Rajsfus, historien. « Très peu d’hommes et de femmes existent par eux-mêmes, ont le courage de dire oui ou non par eux-mêmes. » Marguerite Yourcenar, écrivain et académicienne. « Penser, c’est dire non. » Alain, philosophe.

3. Le désorganisé (désordonné)

Certainement ceux qui sont le plus difficile à gérer. 

Très souvent ce sont des personnes créatives ou/et chaotiques. Ils n’ont jamais de problèmes avec le temps, vu qu’ils n’en ont pas fixé. Lorsque nous leur posons la question : où en êtes-vous ?, ils répondent généralement qu’il leur faut un peu plus de temps pour être créatifs.

Ils préfèrent d’ailleurs largement rêver, plutôt que d’exécuter des travaux ennuyants, jusqu’au jour où ils se font subitement rattraper par leur entourage qui attend qu’ils fournissent leur part de travail.

Je subis mon désordre de plein fouet : En étant désordonnée, c’est moi que je pénalisais le plus dit Julie. Je crois être devenue désordonnée pour ne pas être réduite, comme certaines femmes de ma famille, à un rôle de femme d’intérieur. Chez moi, j’ai laissé les choses s’accumuler pour affirmer ma liberté… et sans doute aussi pour contrer une mère qui m’a répété toute mon enfance de ne rien jeter “parce que c’est du gaspillage”. Il se peut enfin que j’aie entretenu une joyeuse pagaille dans ma maison par opposition à la discipline que requiert mon activité professionnelle…

Peut-être êtes-vous dans un de ces groupes, ou dans plusieurs en même temps. Ce qui compte, dans un premier temps, c’est de reconnaître qui nous sommes, c’est ce qui va nous faire avancer par la suite.

Nous pouvons considérer

  • Que le temps, même que chacun de nous en possède le même montant, semble avoir une durée différente pour chacun d’entre nous.
  • Que nous sommes régulièrement confrontés à des impasses, provoqués par nos agissements.
  • Que nous subissions la situation en fonction de notre manière d’être, de penser, et d’agir.

Alors, que faire ?

Même s’il est possible d’être un mélange, des trois groupes cités, chacun a une tendance à être plus l’un que les autres.

Certains remèdes, que je vais lister ci-après, peuvent servir tous les groupes, et d’autres seront plutôt adaptés à un seul des trois.

Si le perfectionniste maîtrise en principe très bien les buts, le désorganisé, n’en a souvent même jamais entendu parler. Quand le désorganisé peut très facilement dire non, le dirigé par autrui se bat quotidiennement avec ce problème.

Pour éclaircir les choses, je vais ajouter les groupes (I) (II) et (III) en fin de phrase, pour donner une direction du/des groupe-s que cela touche le plus. Il s’agit d’une indication uniquement.

Dix remèdes pour diminuer votre stress

Dans un ordre aléatoire.

1. Apprenez à dire NON (II)

Peut-être que vous serez contraint d’expliquer à la personne qu’il s’agit d’un non envers la tâche uniquement. C’est pourtant le seul moyen pour que la charge de travail devienne supportable pour vous.

2. Déléguez (I) (II)

Cela peut constituer un réel défi pour le groupe I, lui qui aime tellement le travail parfait (…) au détriment de toute autre chose. Si vous êtes dans cette situation, faites un pas vers le partage des tâches et donnez ainsi plus de confiance aux personnes qui vous entourent.

Pour le groupe II, il s’agit plutôt d’une question de survie. Si vous gardez toutes les tâches que vous avez acceptées, même que c’était de la folie pure, vous courrez tôt ou tard vers votre perte. Que ce soit la vie sociale — il faut que je travaille jour et nuit et sept jours sur sept pour y arriver — soit de votre santé… le burnout guette à la porte.

3. Fixez-vous un but (III) (II)

Même en étant une personne créative du groupe III, il est possible de se fixer des buts. Cela devient même nécessaire, lorsque le travail s’effectue en équipe. Imaginez-vous que l’avancement du projet dépend de votre travail.

Pour le groupe II, il s’agit bien plus de se fixer des buts de réductions de travail. Un but qui va vous ramener progressivement vers un rythme de travail plus sain pour vous et votre entourage.

4. Faites de l’ordre (III)

Dans vos projets, vos dossiers, votre bureau et partout où c’est nécessaire pour que vous puissiez y voir plus clair. De plus, cela va vous faire gagner un temps considérable, vu que vous ne serez plus obligé de chercher vos affaires.

5. Allez un pas plus loin (I)

Lorsque toute autre personne se dit : j’y reviendrais plus tard, la personne du groupe I ne peut franchir ce pas. Impossible d’avancer, c’est un blocage total. Même si le souci du travail bien fait peut avoir des avantages, celui du travail parfait semble avoir bien plus d’inconvénients que d’avantages.

Pensez-y, lorsque vous serez à nouveau dans cette situation, faites un pas de plus. Commencez avec des tâches de moindre importance, avant de vous attaquer à celles qui sont essentielles à vos yeux.

6. Fixez des priorités (I) (II) (III)

Pour le groupe I, les priorités posent des frontières et vous indiquent clairement ce Sur quoi vous pouvez travailler et ce que vous devez ignorer. Et pour chaque activité, les priorités vous indiquent le niveau suffisant de qualité à atteindre.

Pour le groupe II, les priorités sont axées sur la vie privée, sociale et professionnelle et vous remettent à l’ordre lorsque vous délaissez totalement l’un de ces trois volets nécessaires pour l’équilibre.

Finalement, le groupe III, les priorités servent à donner un ordre des choses qui sont à faire, pour que les délais puissent être respectés.

7. Prenez un rendez-vous avez-vous (I) (II)

Une démarche qui revêt une très grande importance pour ces deux groupes. D’avoir un rendez-vous quotidien, un tête-à-tête avec soi-même, permet de se poser des questions essentielles.

Si pour le groupe I ce sont des questions du genre :

  • Ai-je fait preuve de perfectionnisme ?
  • De ce fait, ai-je blessé ou été désagréable avec mon entourage ?
  • Que dois-je faire, ou ne pas faire, aujourd’hui ?

Pour le groupe II, ce sera plus :

  • Ai-je dit oui, ou je devais refuser ?
  • Ai-je délaissée un des trois piliers de ma vie ?
  • Ai-je pris les pauses pour manger et pour faire un minimum d’activités physiques ?

8. Faites-vous confiance (I) (II)

La confiance en soi permet d’aller de l’avant, de prendre des risques, mais aussi de s’adapter aux situations nouvelles quand l’occasion se présente. Elle est nécessaire lorsqu’il s’agit de mobiliser des compétences spécifiques afin de relever un défi ou de se remettre d’un échec.

Sans elle, tout semble beaucoup plus compliqué.

L’estime de soi connaît des hauts et des bas, mais peut aussi s’altérer, faute d’attention et de soins réguliers.

Voici un exercice, conçu par Frédéric Fanget (psychiatre et psychothérapeute) qui peut vous aider à améliorer votre confiance.

  • Choisissez l’expérience positive, parmi toutes celles que vous avez pu vivre par le passé, qui vous a permis de vous sentir fier de vous, de mobiliser des compétences ou des ressources jusque-là inexploitées, ou encore de surmonter un obstacle que vous pensiez de prime abord infranchissable.
  • Accordez-vous un temps de calme et de solitude pour revivre pleinement cet épisode positif, comme si c’était un film. Visualisez le plus grand nombre de scènes possible et laissez resurgir toutes les émotions qui y sont associées.
  • Questionnez-vous à propos de cet événement : dans quel état émotionnel vous trouviez-vous avant de mobiliser vos forces (quelle était la nature de vos peurs, de vos doutes…) ? Aviez-vous au contraire des certitudes ? À quel type de ressources avez-vous fait appel (demande d’aide, affirmation de soi, courage, imagination, audace…) ? Qu’est-ce qui vous a poussé à agir ? Comment vous sentiez-vous pendant que vous agissiez (quelles étaient vos pensées, vos émotions) ? Quelles découvertes avez-vous faites (sur vous, sur les autres)?
  • Identifiez la compétence (ou bien le faisceau de compétences) qui, in fine, vous a permis de réussir et d’atteindre votre objectif (l’intuition, l’esprit de synthèse, l’enthousiasme communicatif…).
  • Installez-vous dans la sensation de votre réussite, revivez pleinement les images et les émotions qui y sont liées (fierté, étonnement, soulagement, euphorie…).
  • Félicitez-vous : adressez-vous un compliment qui porte sur les talents que vous avez utilisés pour réussir.

9. Organisez-vous mieux

Le fait de s’organiser, de manière claire, enlève souvent le poids nécessaire de nos épaules pour faire le pas supplémentaire. L’organisation peut avoir des sens multiples. Que ce soit l’organisation de notre travail, celui de notre vie familiale ou sociale. 

Avoir quelques repères, même souples, aide déjà beaucoup.

10. Acceptez le changement

Modifier un certain nombre de paramètres dans notre vie, suppose également que nous soyons prêts à accepter le changement.

Un changement qui semble si souvent poser un immense problème à nombre d’entre nous. Il nous semble parfois plus facile de supporter l’insupportable uniquement pour ne rien changer à nos habitudes.

Nous y voici

Maintenant c’est à vous de prendre conscience de votre situation et d’y apporter les changements qui vont améliorer votre vie et celle de vos proches.

Même le plus long chemin commence par un premier pas, osez-le faire dès maintenant.

Bonne route !

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Découvrez le pouvoir de votre potentiel

Est la troisième étape — d’une méthode fondée sur cinq — pour vous soutenir dans la recherche vers votre épanouissement.

J’ai appris à mieux me connaître…

Il y a quelques années, j’ai dû prendre certaines décisions difficiles et apporter quelques changements fondamentaux dans ma vie.

Lorsque je l’ai fait, j’ai appris à mieux me connaître et ai déterminé ce que je voulais vraiment.

C’est un chemin que je voulais faire, et que je continue d’ailleurs à faire.

J’ai passé des des années à me sentir insatisfait

Et à tenter de trouver quoi faire de ma vie.

Soudain, j’ai vu une route se dessiner devant moi. Tout m’apparut clairement : pendant tout ce temps, j’avais en fait exploré et réalisé mon potentiel.

Il fallait tout simplement que je rassemble ce que j’avais déjà accompli et que je commence à apprécier ce que j’avais déjà appris.

Je devais accorder davantage de valeur aux connaissances que j’avais acquise et à mes habiletés d’écoute, de compréhension et de création du changement.

Une expérience que vous vivez peut-être en ce moment

Elle peut se manifester par une insatisfaction vis-à-vis de votre travail. Ce qui ne signifie pas nécessairement que vous avez choisi la mauvaise voie. Cela peut simplement dire que votre emploi actuel ne vous permet pas d’aller aussi loin que vous le pourriez.

Vous avez peut-être simplement besoin de sortir du moule et de vous plonger dans un monde qui vous permettrait d’exprimer vos pensées, et de réaliser des choses plus importantes pour vous.

Peut-être simplement ; découvrir le pouvoir de votre potentiel.

Chacun trouve son potentiel à sa façon

Certains individus le découvrent très tôt.

D’autres le découvrent à travers leurs expériences ou par le biais de l’introspection.

Pour certains, cela entraîne un changement de vie radical. Pour d’autres c’est une confirmation discrète que la voie qu’ils ont empruntée jusque-là était la bonne, ce qui leur permet de mieux accepter leur situation actuelle.

L’instant transformationnel le plus important a lieu

Lorsqu’une personne découvre le pouvoir de son potentiel.

Cette analyse introspective permet le changement, car elle sert de fondation à la prise de mesures efficaces.

Le travail préparatoire peut parfois paraître interminable, mais quand on met toutes les pièces ensemble, les choses semblent arriver d’elles-mêmes.

Nous écarter de notre identité

C’est comme de s’aventurer dans l’inconnu (que nous avons vu à l’étape précédente).

Souvenez-vous, nous ne pouvons trouver notre voie dans l’inconnu en nous fondant sur notre mode de pensée habituelle. Pour cette raison, et pour découvrir notre potentiel, nous devons faire abstraction de nos problèmes individuels, et nous tourner vers le monde pour chercher au-delà de nous-mêmes.

  • Pour arriver au seuil de votre potentiel, posez un regard sur vous.
  • Pour découvrir votre potentiel, posez un regard sur le monde.

Saisissez-vous la différence ?

Pour découvrir notre véritable potentiel

Et découvrir ce que nous sommes vraiment, nous devons avoir à cœur nos intérêts et ceux du monde qui nous entoure.

Tenir compte d’une solution qui est avantageuse pour tous. Avoir les yeux grands ouverts et penser aux besoins du monde, tout autant qu’aux nôtres.

Tant et aussi longtemps que nous nous concentrons uniquement sur ce que nous voulons, nous dressons un mur à notre évolution.

Il est important de se soucier des gens

Et des défis qu’ils doivent relever.

Même s’il semble impossible d’éliminer tous les problèmes du monde, il est possible d’aimer. Il y a des gens sans toit parce qu’il n’y a pas assez d’amour dans le monde… !

En pensant à notre potentiel en tant qu’être humain, la compassion pourrait y prendre une place de choix dans certaines circonstances.

Je ne peux rien changer

La vie est ainsi faite…

Pour la majorité des gens, la vie est comme l’existence d’un minuscule grain de sable. Ils sont sur une plage immense où il y a des milliards de grains de sable, comme il y a des milliards de gens sur la planète.

Devons-nous être résignés, ou nous poser quelques questions du style :

  • Comment un minuscule grain de sable peut-il faire une différence ?
  • Comment un minuscule grain de sable parvient-il à avoir une existence significative ?

D’accepter une vie d’un minuscule grain de sable, sans jamais exercer d’influence sur le reste du monde peut que difficilement mener au bonheur.

Soyons des changeurs de monde

En pensant que nous sommes plus qu’un minuscule grain de sable dans un vaste monde.

Vivons notre vie comme si nous pouvions apporter une contribution significative, et considérons-nous comme faisant partie d’une entité plus vaste.

Oui, nous faisons partie d’une entité vaste à l’intérieur de laquelle, nous avons beaucoup plus de pouvoir que nous ne pourrions le penser.

Nous pouvons aller au-delà des limites

Que nous croyons être les nôtres.

Si vous le voulez, vous avez véritablement une chance de découvrir des possibilités défiant toute imagination.

La découverte de votre potentiel exige juste que vous vous posiez quelques questions fondamentales à propos de ce que vous êtes, et des valeurs et des idées auxquelles vous tenez.

Pour découvrir vos possibilités

Demandez-vous : 

  • Qui suis-je ? En tenant compte d’une vue d’ensemble du monde.
  • Qu’est qui me tient à cœur ?
  • Qu’est-ce qui a vraiment de l’importance pour moi ?
  • Qui suis-je au-delà des rôles et des responsabilités que j’assume dans ma situation présente ?
  • Qu’est-ce que je pourrais accomplir si j’arrivais à être plus qu’un grain de sable parmi des milliards d’autres sur cette plage que l’on appelle la vie ?

Et toute autre question qui pourrait vous mettre sur une nouvelle piste, et vous faire avancer vers votre potentiel.

Au centre de la découverte…

Se trouvent les fondements qui vous permettront de passer efficacement à l’action.

Même si vous arrivez à la conclusion que vous devez faire un pas vers l’entraide, ce n’est aucunement un préalable.

Vous pourriez découvrir un aspect de votre potentiel qui est complètement différent, comme augmenter vos gains ou d’exceller dans un sport.

Il pourrait s’agir d’une passion pour un art ou le fait de devenir parent.

Quel que soit cet aspect, utilisez votre découverte comme un fondement pour réaliser votre potentiel.

Lorsque l’on découvre qui l’on est vraiment

Notre vie et nos expériences sont en quelque sorte plus sereines et plus inspirantes.

À l’apparition de nouvelles possibilités, nous sommes suffisamment lucides, déterminés et calmes, pour les reconnaître et les optimiser.

Par exemple, de nouvelles personnes peuvent apparaître dans notre vie, et nous sommes enfin assez ouverts pour les accueillir.

Il en tient souvent qu’à cet état de fait, pour que les choses changent.

La troisième étape en bref

  • Faites appel à diverses personnes lorsque vous êtes à la recherche de votre potentiel.
  • Posez un regard sur vous-même pour arriver au seuil de votre potentiel.
  • Posez un regard sur le monde pour découvrir votre potentiel.
  • Pour découvrir votre potentiel, demandez-vous : Qui suis-je ? et répondez en tenant compte d’une vue d’ensemble du monde.
  • Imiter la démarche des autres ne sert à rien, car chacun trouve son potentiel à sa façon.

Utilisez la découverte de votre potentiel comme un tremplin vers la prochaine étape.

Exercice d’épanouissement

Le processus consistant à découvrir votre potentiel en relation avec le monde. Après tout, sans ce monde, il serait impossible de réaliser votre potentiel, et cette réalisation n’aurait aucun avantage.

Marche à suivre :

  1. Réservez-vous environ trente minutes dans un lieu calme et privé où vous aurez peu de chances d’être dérangés et munissez-vous de quelques feuilles de papier et d’un stylo.
  2. Pendant quelques minutes, réfléchissez aux volets les plus importants de votre monde ; par exemple, votre famille, votre travail, vos activités sportives, l’environnement dans lequel vous vivez, etc. et notez vos réflexions.
  3. Réfléchissez à ce que vous pourriez offrir à ce monde. Que pourriez-vous changer dans votre vie qui pourrait être avantageuse à la fois pour vous et votre monde ? Cela peut être n’importe quoi, incluant une qualité telle que l’humour ; une carrière comme devenir chef ; un loisir comme l’escalade ou la poterie ; ou une façon particulière dont vous aimeriez enrichir vos relations.
  4. Inscrivez les idées les plus importantes qui vous viennent à l’idée.
  5. Révisez votre liste et imaginez ce que vous ressentiriez si vous passiez à l’action et concrétisiez une ou plusieurs de vos idées.
  6. Visualisez, comment vous et votre monde pourraient changer à la suite de cette intervention. 

Quelle opinion auriez-vous de vous-même ?

Commencer ce travail

Est le premier pas vers une vie plus heureuse et jonché de succès qui semblaient jadis si lointains.

Votre potentiel est unique comme vous l’êtes !

Pourquoi devriez-vous vous limiter à la démarche des autres, alors que vous pouvez découvrir votre potentiel par un moyen qui n’appartient qu’à vous ?

Donne-vous l’opportunité de créer votre chemin dès maintenant et, souvenez-vous : vous seul avez le pouvoir de changer votre vie.

Et soudain, vous verrez une route se dessiner devant vous…

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Affrontez le pouvoir de votre potentiel

Est la deuxième étape — d’une méthode fondée sur cinq — pour vous soutenir dans la recherche vers votre épanouissement.

Affrontez le pouvoir de l’inconnu

Rappelez-vous que le but premier de vos mécontentements est ; de vous pousser à saisir l’occasion d’apporter de véritables changements dans votre vie.

La peur de passer à l’action, sans comprendre les véritables possibilités qui s’offrent à nous, nous empêche régulièrement de les saisir.

Prendre des décisions radicales

Uniquement pour échapper à notre sentiment d’insatisfaction, c’est certainement le mauvais plan. Cela d’autant plus, qu’il est souvent inutile d’apporter un changement radical pour éliminer l’insatisfaction.

Vous pouvez prendre le temps de laisser votre mécontentement vous guider vers la découverte de quelque chose de fondamentalement nouveau. Lorsque la découverte est faite, vous pourrez passer à l’action avec efficacité. Cela va vous éviter des gestes, qui vont qu'aggraver vos problèmes.

Permettez au processus, consistant à affronter l’inconnu, de suivre son cours . Car de faire ce que vous avez toujours fait ne constitue que l’ordinaire. Cela signifie davantage de mélanger les cartes que de ramasser une nouvelle donne.

Peut-être que notre identité doit changer

Ou grandir avant que nous puissions découvrir notre potentiel. 

En nous créant une identité, c’est comme si nous avions créé une zone de confort qui nous est familière. Notre identité nous aide à résoudre des problèmes et à entretenir des rapports avec les autres. C’est comme une manivelle avec laquelle nous gérons les situations de notre vie. Elle nous permet d’adopter une conduite prévisible et constante.

Mais en même temps elle nous emprisonne.

Avec "voici ce que je suis" vous exprimez un statu quo plutôt que d’envisager un changement nécessaire.

Peut-être que notre mécontentement nous dit que notre identité , la perception que nous avons de nous-même et du monde , se doivent d’être améliorées.

Si nous nous débâtons dans l’inconnu c'est parce qu’il nous semble difficile, sinon impossible, de sortir de notre zone de confort.

Avec les repères que nous procure notre identité

Nous ne pouvons voir que ce que nous avons toujours vu.

Comment pourrions-nous découvrir de nouvelles possibilités, si nous considérons les événements du même regard et du même point de vue ?

Nous devons permettre à notre identité de changer avant d’être en mesure de trouver de nouvelles approches aux questions qui nous préoccupent.

Si nous n’arrivions pas à trouver une solution fondamentalement pertinente à nos problèmes, c’est parce que toutes les réponses nous sont dictés par une manière d’être et un mode de pensée qui est cristallisée dans notre identité.

Il semble que nous devons découvrir qui nous croyons être, avant d’être en mesure de découvrir qui nous voulons être.

Des occasions en or pour découvrir son potentiel

Mais encore faut-il être capable de les saisir, parce qu’à force d’être trop occupé à étudier les options actuelles, nous en oublions les autres possibles.

Tant que nous soutenons connaître les réponses à toutes nos questions, nous ne faisons que nous appuyer sur notre identité actuelle.

Il est important de vous rappeler que l’état actuel des choses est à l’origine d’un grand nombre de nos problèmes. En cherchant dès maintenant à trouver des réponses à vos questions, vous fermez la porte à l’inconnu. 

En vous donnant, par contre, la liberté d’attendre qu’une réponse pertinente surgisse, vous vous donnez l’occasion de faire une importante découverte à propos de vous-même et de votre situation.

N’exigez pas d’avoir toutes les réponses immédiatement, car la porte s’ouvrant sur votre potentiel pourrait demeurer fermée.

L’inconnu n’est qu’un processus

Qui nous permet de découvrir qui nous sommes et de quoi nous sommes capable. 

Lorsque vous dresserez la liste (dans l’exercice de réflexion ci-après) de toutes vos options et de toutes vos priorités sur le côté gauche du tableau, et tous les pour et les contres, sur le côté droit du tableau, vous constaterez probablement qu’il s’agit que d’une énumération d’options habituelles et connues.

Il n’y aura rien sur cette liste, qui vous obligera à sortir de votre zone de confort. Qui va vous mettre dans une position favorisant une découverte significative, ou une nouvelle voie sur laquelle orienter votre vie.

Vous pouvez vous servir de votre imagination

Pour commencer à explorer l’inconnu

Votre imagination à la capacité à transcender les limites de votre identité et elle peut évoluer dans l’inconnu. Vous pouvez utiliser vos sens pour vous imprégner des expériences qui seraient les vôtres si votre identité évoluait.

Comment vous sentiriez-vous si vous étiez différent ?

Projetez dans votre esprit un scénario de ce qui est possible. Imaginez les sensations qui seraient alors les vôtres, et utilisez votre imagination pour ouvrir la porte à votre potentiel.

Et si… 

…Nous étions capables d’imaginer l’avenir ?
…Nous devions nous servir de notre imagination et de nos sens pour découvrir une nouvelle façon d’aller de l’avant ?

Ce sont des questions qui peuvent changer le monde, et votre vie, de manière significative.

La deuxième étape en bref

Affronter le pouvoir de l’inconnu exige que l’individu mécontent comprenne qu’il arrivera que difficilement à trouver une solution sans d’abord remettre en question son identité telle qu’il la perçoit.

  • Ne vous précipitez pas dans l’inconnu. Il faut prendre le temps de l’explorer si l’on veut découvrir de nouvelles possibilités.
  • Mettez à profit le temps que vous passez dans l’inconnu pour évaluer, comprendre et faire évoluer votre identité.
  • N’exigez pas d’avoir toutes les réponses immédiatement, car la porte de l’inconnu demeurera fermée.
  • Servez-vous de votre imagination pour ouvrir la porte de l’inconnu. Utilisez vos sens pour vous imprégner des expériences qui seraient les vôtres si votre identité évoluait.
  • Faites un pas de plus, ouvrez la porte de l’inconnu.

Exercice de réflexion

Commencez à imaginer ce qui est possible, et à explorer un peu plus l’inconnu qui vous entoure.

  1. Dessinez un point au milieu d’une page vierge, qui représente la situation actuelle.
  2. Tracez un petit cercle autour de ce point, qui correspond ce que la situation sera dans deux ans.
  3. Et un plus grand cercle autour du premier, à ce qu’elle sera dans cinq ans. En se faisant, nous imaginons la situation dans laquelle nous nous trouvons. Nous décidons ce que nous voulons devenir, et fixons des buts pour y arriver.
  4. Passez ensuite à une séance de remue-méninges et imaginez, ou vous/votre entreprise sera dans deux à cinq ans. Envisagez toutes les possibilités.

Si notre identité actuelle est égale à notre zone de confort — et que plus rien n’est confortable lorsque nous nous en écartons — il est également intéressant de faire le même exercice en imaginant que nous ne changerons rien à notre identité. 

Que se passerait-il ? 
Où serions-nous dans deux à cinq ans, tant au niveau personnel, privé et professionnel ?

Une fois que vous comprenez votre identité

et ses limites, il est plus facile d’ouvrir la porte à votre potentiel.

Il devient clair que votre statut actuel ne convient plus, et que la seule issue consiste à explorer de nouvelles façons de voir le monde. Cette constatation représente votre engagement à explorer ce qui est vraiment possible. 

En comprenant les limites de votre identité, vous ouvrez une porte et vous faites un pas vers la découverte du pouvoir de votre potentiel.

Peut-être que vous voulez également que votre vie en général vous apporte davantage de satisfaction.

Les choses sont devenues stagnantes..., c’est comme si vous aviez besoin de trouver quelque chose qui raviverait votre vie.

Exercice d’épanouissement

Faire face à l’inconnu peut représenter un défi, car cela exige que vous acceptiez de ne pas trouver immédiatement toutes les réponses.

Marche à suivre :

  1. Réservez-vous environ trente minutes dans un lieu calme et privé où vous aurez peu de chances d’être dérangés, et munissez-vous d’une feuille de papier et d’un stylo.
  2. Dessinez un point au centre de la feuille et tracez un cercle autour de celui-ci.
  3. Divisez cette tarte en sections correspondant à quelques aspects clés de votre vie. Par exemple, vous pourriez étiqueter une section « argent », une autre « relation », une troisième « santé », etc.
  4. Pendant quelques minutes, imaginez ce que chacune de ces sections renfermerait si vous continuez à vivre sans changer quoi que ce soit pendant les deux prochaines années. Comment vous sentez-vous à cette perspective ?
  5. Pendant encore quelques minutes, considérez ce qui serait possible pour chacun des aspects de votre vie si vous vous aventuriez dans l’inconnu, si vous découvriez quelque chose de nouveau et d’important à propos de vous-même, de vos champs d’intérêt, de vos habiletés, et que vous exploitiez cette découverte pendant deux ans.
  6. Inscrivez ensuite les idées, les images et les sensations les plus importantes dans la section pertinente.
  7. Révisez ce que vous avez noté.

Comment vous sentez-vous devant le potentiel que la vie et votre situation vous offrent ?

Oui, il faut du courage pour se rendre dans l’inconnu

C’est pourtant ce que je vous encourage à faire. En prenant en main votre destin, et en sortant des sentiers battus, vous découvrirez certainement de toutes nouvelles pistes à explorer.

Oser, c’est se donner la chance de réussir.

Envisagez-le !

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